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recueil de poèmes sur mes états d'âme

Éternel amour

Publié le 8 Mars 2018 par Lourenço Pereira Rosa Maria

La vois-tu cette petite chandelle,

Celle qui scintille de mille feu...

Comme une lueur dans tes prunelles,

Dans tes souvenirs les plus merveilleux...

 

Ce sang qui coule dans tes veines,

Ce lien infime qui nous unit...

N'en gardes pas de chagrin, pas de peine,

Mais plutôt, gardes en un peu de magie...

 

Je suis là, je vis au travers de toi,

Dans tes gestes, ton sourire et amour...

Tous nos souvenirs, sont près de moi,

Au creux de mon cœur, mon amour...

 

Mon enfant, mon souvenir si précieux,

Ne pleure pas, je ne suis pas loin...

Je suis juste assise près de Dieu,

Qui veille sur moi de mille soin...

 

N'oublies jamais que de la-haut,

Cette petite chandelle, brille pour toi...

Qu'elle guérira tous tes maux,

Si tu gardes de moi, un peu de foi...

 

Respire, chante, rit, aime la vie,

Sourit moi chaque jour, je te vois...

Ne sois plus jamais triste, je t'en prie,

Ne nous laisse pas porter cette croix...

 

Je veux que tu respires au grand air,

Ce qui fût nous, nos belles années...

Tu seras toujours mon sang, ma chair,

Ma plus belle joie, pour l'éternité...

 

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Mes neveux

Publié le 7 Mars 2018 par Lourenço Pereira Rosa Maria

 

Dites moi, au creux de l'oreille,

Que je les aimerais tous autant...

Que si la vie est parfois cruelle,

Elle continuera, le matin suivant...

 

Je ne ferais jamais de préférence,

Les enfants ne méritent pas, ces sentiments là...

Ils me manquent tous, par leur absence,

J'aimerais tant tous, les prendre dans mes bras...

 

Dites moi, au creux de l'oreille,

Que l'amour, vaut plus que la haine...

Que chaque jour, ce qui m'émerveille,

Est dans notre cœur, comme une graine...

 

Un chemin de paix et aussi de pardon,

Où mains dans la main, chacun se suivraient...

Comme ce fil sans fin, se perdant à l'horizon,

Où pour s'aimer, il les réuniraient...

 

Dites moi, au creux de l'oreille,

Que jamais, je ne les oublieraient...

Que mes neveux sont pour moi, tous pareils,

Et que même de loin, je les suivrai...

 

Je ne ferais jamais de préférence,

C'est un sentiment que je n'apprécie pas...

Ils me manquent tous, c'est une évidence,

Au creux de mon cœur, ils sont posés là...

 

D'un murmure au creux de vos oreilles,

Je vous chuchoterai, que je vous aime...

Comme ce poème, rouge vermeille,

En message doux, comme je les aime...

 

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