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recueil de poèmes sur mes états d'âme

Le mal de 2020 n'est pas qu'un virus...

Publié le 29 Mars 2020 par Lourenço Pereira Rosa Maria

 

Je trouve ça triste de nos jours, que nous humains de 2020, qui avons la chance de bénéficier de tout un tas de privilèges, et surtout de liberté, puissions encore malgré une attaque virale, nous comporter encore comme des monstres pour certains d'entre nous.

 

Depuis que nous sommes enfants, nos enseignants et journalistes télévisés, nous apprennent et nous montrent l'atrocité des guerres et la cruauté humaine.

Ce que les guerres laissent derrière elles, laissant misère, désespoir et tristesse...

 

J'ai 51 ans, et il est loin ce temps où je ne me rendais pas compte que les gens puissent avoir autant de colère, de haine et de cruauté en eux...

Il est loin ce temps où je regardais la vie avec le sourire, où je m'éclatais avec mes amies sans me soucier d'autre chose.

La guerre, quand on est jeune, et insouciant, on se dit...qu'est-ce que c'était horrible, mais on ne se rend pas compte à quel point...

 

Les années ont passé, et puis j'ai rencontré des personnes, tout un tas, avec de vrais histoires de guerre, avec des violences conjugales, avec des violences verbales...

C'est fou, parce que quand l’innocence laisse place à la maturité, toutes ces atrocités nous parlent bien d'avantage. Peut-être parce que quand on est adulte, on mesure toute l'intensité des ces actes là...

 

Nos sommes en 2020, l'ère soit-disant du progrès, et plus il y a de progrès, et plus je me dis qu'il y a de violence...

Plus, je ne sais pas au final, parce que je constate malgré tout, que la violence existe depuis si longtemps...

Aujourd'hui, on a les réseaux sociaux, et oui !!!

C'est super de brûler des chiens, de tabasser des copains de classe, de faire des viols collectifs, de montrer toute l'atrocité de l'homme...

Il n'y a pas un jour, où on n'apprends pas grâce aux réseaux sociaux, qu'une femme, un enfant, un ado a disparu...

Qu'un homme a tué ou violenté sa femme ou son enfant...

Un homme, une femme, un enfant ou un homo-sexuel n'a pas subi une agression pour telle ou telle chose...

 

Aujourd'hui, on a un virus qui tue, comme déjà tant de maladies...On se dit, qu'on va peut-être en tirer quelques leçons puisqu' au final, on ne le fait jamais...

On se dit, que face à notre corps médical qui souffre, pour sauver des vies, l'homme va se montrer juste, compatissant et solidaire... Solidaire en fait, je sais pas, parce que quand on voit comment certaines personnes se comportent face à ce personnel soignant, je me dis parfois, que ce n'est pas le virus, celui qui est le plus monstrueux...

 

C'est peut-être ces gens stupides, ignorants, qui par crainte d'un virus en arrivent à dénigrer un corps médical, par peur d'attraper le coronavirus !!

Il y a des fois, c'est terrible de penser cela, parce qu'on ne devrait jamais avoir ce genre de sentiments...mais je trouve triste que le covid-19, tue des gens d'un certain âge et ne chope pas dans ses tentacules tous ces criminels qui restent bien tapis dans leurs maisons...

 

Par ces temps de confinement, la violence aujourd'hui, montre encore une agression d'un père qui vient de laisser son enfant dans un état de coma cérébral, par un coup porté à la tête...

Je pense aussi à tous ces autres enfants, et à toutes ces femmes qui encore en 2020, avec ce confinement vont subir des violences, vont mourir sous les coups...

 

L'homme ne comprendra jamais rien, parce que la violence fait partie du monde, et que ce n'est pas un virus qui va l'amadouer... Au contraire...

La violence, et les arnaques flambent sur le terrain comme sur les réseaux sociaux... On pirate même les ordinateurs des hôpitaux, des entreprises, on casse les voitures des infirmières...

 

Yes, elle est belle notre liberté, celle que nous ont légué nos anciens !!

 

Parfois, je regrette d'avoir vieilli, de découvrir ce monde, qui ne me fait plus vraiment rire... J'ai perdu mon innocence, et avec elle, l'envie de voir un monde meilleur...

 

Il y a toutes ces fois, où je me dis que j'ai quand même la chance d'avoir une famille que j'aime, de vrais amis, et toutes ces belles rencontres qui me font penser qu'il y a encore des gens bien autour de moi...

 

Et puis il y a toutes ces infos, où je vois toute la cruauté et la bêtise du monde, et je me dis que c'est pas gagné...Je ne m'inquiète pas pour moi...

 

Je m'inquiète surtout pour mes enfants que j'ai mis sur notre belle planète, en me disant qu'ils y seront bien, parce que je pensais que les guerres étaient loin, et que l'homme n'était pas assez stupide pour ne pas avoir appris de notre passé...

 

Au final, je me dis que je vais les laisser sur une merveilleuse planète, non avec un virus qui risque de nous tuer ou de nous faire passer de mauvais moments, mais avec l'homme tout court...

 

Cet homme qui, même s'il en existe de bons, leur montrera qu'il est pour nombre d'entre nous plus terrifiant que toutes les maladies ou virus existants...

 

Je tiens à remercier du fond du cœur, tous ces gens qui sont là pour nous, qui malgré le confinement, continuent à risquer leur santé, pour que nous autres humains, qui restons chez nous bien au chaud, sauvions la notre...

Tous corps de métiers inclus...

 

Et à tous ceux qui profitent de cela, qui sont violents, agressifs, malveillants, et bien, Madame Nature, fera un jour son travail en temps et en heure...

 

Une pensée à vous tous enfants, ou femmes battues, ne vous laissez pas faire...

 

Le courage appartient à celui qui décide, et ouvre ses bras à celui qui se défend...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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L'invisible ennemi

Publié le 25 Mars 2020 par Lourenço Pereira Rosa Maria

 

Aujourd'hui nous sommes en guerre... Oui, c'est vrai, pas la même guerre qu'ont connu nos parents ou arrière-grand parents...

 

C'est une guerre plus moderne, sans effusion de sang, mais elle reste néanmoins une guerre... sournoise tapie derrière chaque individu...Nous sommes tous probablement l'arme cachée capable de tuer cet autre, cet être plus fragile que nous, plus âgé ou pas, car finalement on se rend compte que ce virus ne s'attaque qu'aux plus faibles...

 

Parfois je me demande, chaque fois que sort une nouvelle maladie, pourquoi, et comment on n'en arrive là... On nous dit, que la nature est pleine de bactéries, de virus, transmis par l'animal ou l'insecte.

Nous consommons aussi de plus en plus de viande, diverse, nourrie aux hormones, gonflée de liquide dont on ne connaît pas sa composition, on utilise des pesticides qui déciment même nos abeilles, celles qui nous donnent aussi, un trésor inestimable. On consomme de plus en plus de viandes ou poissons crus, ou tout un tas d'espèces qui se nourrissent elles-même de tout ce que nous rejetons dans la nature...

 

Aujourd'hui, c'est vrai ce n'est pas un guerre comme les autres, c'est une guerre que nous avons peut-être nous tous, déclarée...

 

Déclarée, parce que nous jouons avec le feu, et qu' à un moment donné le feu devient tellement fort et puissant qu'on n'arrive plus à l'éteindre...

 

Nous nous en prenons à l'état, parce qu'il faut bien désigner des responsables, mais en réalité, nous sommes tous responsable de ce qui nous arrive.

Parce qu'on veut plus, encore et toujours pour assouvir des petits besoins artificiels, égoïstes, on veut plus d'argent, de luxe, de confort, de plaisir...

 

Aujourd'hui, nous avons tant voulu de tout ça...qu'on se retrouve à avoir moins que tout ça au final...

 

On critique ces sang-logis, et on se dit que s'ils en sont là, c'est qu'ils le veulent bien...Qu'ils n'avaient qu' à travailler ou je ne sais quoi... Quand j'entends ça, ça me glace toujours le sang...Moi je dirais que ces sang-logis, pourraient dire la même chose aujourd'hui de nous tous... Et ils auraient bien raison...

On comprend parfois mieux la détresse humaine quand elle est de notre côté, qu'elle frappe à nos portes...Et encore comme ça, la presse toujours pleine à se goinfrer, pour mieux se tirer la couverture, arrive encore à se contredire parfois elle-même dans ses communiqués...

 

Vendre encore et encore, alors que tant de gens meurent et tombent comme des mouches, créer des sentiments de crainte, d'angoisse, alors qu'on sait combien le stress est notre ennemi le plus sournois...Peut-être plus que tous les virus ou maladies connues...

Ce stress qui détruit tout notre système immunitaire, qui nous affaiblit, nous mène à la dépression...

 

On écoute les infos, pour s'informer de tout, parce que l'humain a besoin de tout savoir, pas toujours parce qu'il a peur, mais parce que derrière, on a besoin de se sentir rassuré...

Mais ce n'est pas ce qui se passe, bien au contraire, on vit avec la peur au ventre chaque jour en écoutant tout ce qui se passe autour de nous, dans d'autres pays...

On se crée un sentiment permanent de stress, et ce stress, la presse le connaît bien... Elle en joue, tout ça pour de l'argent, et ainsi va le monde...On fait tout, toujours pour l'argent...Le pouvoir...

 

Aujourd’hui, 168 pays et territoires sont touchés par le covid-19, pour un petit départ dans une petite ville de Chine, portant le joli nom de Wuhan...

J'ai quand même du mal à croire qu'une petite ville de chine ait pu à elle seule contaminer quasiment le globe terrestre...

Pourquoi pas après tout, puisque les grippes voyagent tout autant, ainsi que tant d'autres virus... Nous voyageons tant, nous tous humains, peut-être trop, qui sait ?

 

La réalité, c'est qu'aujourd'hui, nous sommes tous face à nous même, face à notre impuissance face à quelque chose d'inconnu, d'animal, ou qui sait, de menace d'hommes à hommes ?...

 

Quand on n'y réfléchit bien, la dernière pandémie fût la grippe espagnole... en fin de Première guerre mondiale...1918/1919. On sait que l'humain est capable de créer des virus pour déclencher des guerres chimiques, et que nous n'en saurons jamais rien...

 

L’Angleterre a elle-même caché l'histoire pendant 50 ans, de Monsieur Alan Mathison Turing, qui créa une machine, capable de décrypter les attaques Allemandes, et fit sans doute raccourcir la Guerre... La seconde guerre Mondiale...

 

Il y a des choses que nous ne saurons jamais, car nous simples citoyens, serons quelque part, les jouets de ceux qui nous gouvernent, ceux qui créent des guerres et ceux qui déciderons d'y mettre fin...

 

Quand notre Président nous dit que nous sommes en Guerre, moi, j'y déchiffre bien ce que cela veut dire...

On ne ferme pas des frontières, on arrête pas des pays entiers stoppant ainsi leur économie, pour soi-disant, une simple petite gripette...

Parce que la Grippe saisonnière que nous connaissons bien tue pas mal aussi, et nous n'avons jamais arrêté de vivre, de sortir, de respirer...

 

Il est peut-être là, aussi, le problème... si tout n'était que contact, 198 pays, ça fait beaucoup d'avions, de trains, de voitures qui voyagent... les virus ne connaissent pas de frontières, ils circulent aussi librement que l'air que nous respirons tous...

On parle de contact, de surface contaminée, mais on ne parle pas des particules en suspension...

 

Tout le monde sait que tout est volatile, même l'invisible à l’œil nu. Les micro-organismes se développent et circulent aussi librement que l'air que l'on éjecte de nos poumons... On arrête pas de dire, lavez-vous bien les mains, ne touchez pas votre visage, éternuez ou toussez dans votre coude...Mais les micro projections, elles vont bien au-delà...

 

Moi, j'aimerais aussi qu'on dise, lavez-vous bien le visage, lavez-vous les yeux et le nez avec du sérum physiologique... Consommer du miel, de la Propolis, qui sont des barrières anti-virales... Dormez beaucoup, respirez calmement, avec le ventre, éteignez un peu tout ce qui génère du stress...

 

Tout ça, c'est pas mal aussi, vous croyez pas ? Mais on nous dit, surtout, rester chez vous...

Oui, restons chez nous, pour nous, pour le corps médical, qui n'en peux plus, mais surtout restons chez nous, car moins nous sortons, moins ce que nous rejetons dans l'air, voyage...

 

Nous sommes en Guerre, oui, moi, en tout cas j'en ai une petite conviction, qui ne reste que la mienne, bien entendue, et elle est peut-être fausse aussi, qui sait, mais c'est la mienne...

 

Ce qui est certain, c'est que c'est bien réel, et que ça va faire beaucoup de mal encore, et que plutôt que de toujours vouloir toucher la lune, ce serait bien qu'on réapprenne à vivre en paix avec notre terre, à la respecter, à se respecter les uns les autres...

Nous savons tous que l'homme est le grand prédateur du monde, mais peut-être qu' aujourd'hui, ce même monde nous fait peut-être payer à sa manière, notre orgueil, notre égoïsme, sous une forme minuscule, mais capable de nous éteindre tous, comme on éteins une bougie...

 

Et si c'est une guerre bactériologique, comme toute guerre, elle tuera, qui elle voudra... Aujourd'hui ce sont les plus vulnérables, les plus âgés... Dans un autre futur, ce sera d'autres cibles, et qui sait...notre fin à tous ?...

 

Peut-être l'aurons nous bien cherché ?...

 

 

 

 

 

 

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Une couronne pour un palais

Publié le 20 Mars 2020 par Lourenço Pereira Rosa Maria

Je suis entré dans votre monde,

Comme on entre dans une palais...

On parle de moi, sur les ondes,

Comme quelque chose que l'on hait...

 

Un virus sortant de nulle part,

Aux allures d'une couronne.

De wuhan, j'en ai fait mon départ,

Et recouvert, toute sa zone...

 

Je me suis attaqué à l'humain

Aux plus faibles, aux plus fragiles...

J'ai craché en gouttes, mon venin,

Pour faire parler, les volubiles...

 

J'ai voyagé et pris de l'ampleur,

J'ai voulu découvrir le monde...

J'ai vu sur vos visages, la peur,

Et vos douleurs les plus profondes...

 

Je les ai respirées avec vous,

J'en ai ressenti tous les effets,

Je les ai exprimé par ma toux,

Je n'en ai cueilli que des rejets...

 

Par votre envie de vous débattre,

J'ai pu entrevoir l’humanité...

Les plus beaux et les plus noirâtres,

Qui font de vous la diversité...

 

Un monde uni face au mal,

Qui montre aussi ses vraies valeurs...

Sous ses traits, un air paradoxal,

Se montrant au jour, avec son cœur...

 

Serais-je celui de la leçon,

Porté par le règne animal...

Serais-je, enfin votre raison,

A la quette de votre Graal...

 

Je partirai le moment venu,

Comme si rien ne s'était passé...

De votre palais, je n'en veux plus,

Ma couronne, je vous l'ai laissé...

 

 

 

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L'inconnu fait peur, pas ce qu'on connaît...

Publié le 14 Mars 2020 par Lourenço Pereira Rosa Maria

 

 

Il est vrai que nous traversons ces jours-ci un épisode de virus que soit disant, nous ne connaissons pas, alors qu'il existait un type de coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère, abrégé SARS-CoV à l'origine d'une épidémie en 2003.

Ce virus était aurait à l'époque infecté 8 096 personnes dans une trentaine de pays, causant 774 décès essentiellement en Chine, à Hong Kong, à Taïwan et en Asie du Sud-Est.

 

Nous avons eu aussi le syndrome respiratoire du Moyen-Orient, (MERS CoV, épidémie en 2012).

 

Certainement que ces virus ont pu muter, mais comme la grippe, on dit toujours qu'une grippe n'est jamais la même que la précédente d'où les vaccins, peuvent aussi ne pas être apte à la grippe suivante.

 

Nous avons eu également de 1918 à 1919, la grippe espagnole (H1N1) particulièrement virulente et contagieuse qui est également devenue pandémique.

Cette grippe a fait à l'époque 50 millions de morts selon l'institut Pasteur et peut-être jusqu'à 100 millions selon certaines réévaluations récentes, soit 2,5 à 5% de la populations mondiale. Elle fut la pandémie la plus mortelle de l'histoire dans un laps de temps très court, devant les 34 millions de morts estimés pour la peste noire.

 

Je pense que ça ne s'arrêtera pas et que nous continuerons à avoir d'autres maladies épidémiques ou pandémiques, mais il est vrai qu’ aujourd’hui, nous avons les médias, internet et que plutôt que rassurer le monde, la presse est à l'origine d'un anxiogenèse mondiale.

 

Je peux très bien comprendre qu'on ait peur de ce Covid-19, mais faut-il alerter tous les jours, au point de créer des mouvements de paniques allant jusqu'à vider des rayons dans les super-marchés par peur du lendemain.

 

Bien sur, on dit que cette maladie, nous ne la connaissons pas, mais c'est faux finalement, puisque le début des coronavirus existent depuis 2002/2003.

 

On connaît pourtant la grippe, qui revient chaque année, et on en connaît parfaitement les conséquences puisqu'elle tue chaque année 290 000 à 650 000 personnes dans le monde entier. En France, pour la saison 2018/2019, elle a fait 8 100 morts.

 

Les gens se vaccinent-ils tous pour autant ? On m'a dit ce vendredi, que là, c'était pas pareil, parce que cette maladie, on la connaît pas... mais la grippe qu'on connaît, alors, ça change quoi ?

 

Moi, quand même ça me fait doucement rire, parce que quand je vois les fumeurs, qui connaissent très bien les méfaits du tabac, en plus, on peut parfaitement depuis des années le lire sur les paquets « Fumer tue », et maintenant, des illustrations pas très belles, pour dire la même chose, et bien les gens fument toujours autant et ça leur fait pas peur !!

 

Pourtant plus de 8 million de personnes meurent chaque année dans le monde du tabac. Plus de 7 million d'entre elles sont des consommateurs ou d'anciens consommateurs, et environ 1,2 million des non-fumeurs involontairement exposés à la fumée.

 

Pourtant ce fléau là, qui n'est pas viral, est bien réel et tue plus que le coronavirus. Ah, c'est vrai, ce fléau là, on le connaît bien, c'est peut-être pour ça !!!

 

On a peur de ce qu'on ne connaît pas seulement !! Pas de ce qu'on connaît déjà !!

C'est stupide non !!!

Par contre, je n'ai pas encore vu les presses du monde entier crier à tout vent «  encore un mort » !!

En fait , tout ça, ça rime à rien, parce que quand on connaît la maladie, on se dit, il faut bien se faire plaisir, tout en sachant que ça va quand même nous tuer, quand? ... on sait pas !!

 

On se dit aussi que de toute façon, on a beau le savoir, peu importe, un beau jour, on finira quand même par s'arrêter, mais en attendant, on a la capacité pulmonaire et le reste qui en prend un coup !!

 

Quand on a la grippe, on se dit, il existe un vaccin !! Yes !!! Sauf que la moitié des gens s'en fichent royalement, et ne se vaccineront jamais !!

Qu'on peut quand même en mourir, bien entendu, toujours les personnes les plus vielles ou immunodéficientes!!

 

Mais c'est pas grave, parce que dans tout ça, on a la chance, on en connaît la source ou la souche !!! Quelle chance !!!

 

Ce qui est dommage aussi, c'est que si la presse n'en parle pas, on va la critiquer, si elle en parle trop, on va dire, qu'elle en fait son business...

Si le Président n'en parle pas, on va dire qu'on nous cache des choses, et s'il en parle, on dira que si vent de panique, il y a, ce sera de sa faute aussi !!

 

Moi, dans tout ça, je dis qu'en attendant, les gens vont finir par devenir fou, si nous ne le sommes pas déjà !!

Que de toute façon, si c'est un virus qu'on en connaisse la souche ou pas, ça finira quand même par tuer beaucoup de gens, et que nous resterons impuissants, car nous savons tous, qu'aucun antibiotique ne marche contre les virus, encore moins les inconnus !!

 

Que chaque année, des millions de gens meurent dans le monde, près de chez nous ou pas, et que nous ne levons pas le petit doigt pour que ça s'arrête...

 

Que chaque année, fumer tue, boire tue, se droguer tue...

 

Que chaque année, la cruauté humaine fait plus de victimes que les virus...

 

Il y a une seule chose qui ne changera jamais, c'est qu'on a beau avoir peur de tout ça, ce n'est pas ça qui effraye le monde au final, c'est simplement qu'on pense que tant que ça ne nous atteint pas, on en rigolerai presque, alors qu'en fait, rien n'est risible...

 

C'est dommage, qu'un virus, soit-disant nouveau, alors qu'il ne l'est pas, fasse autant parler de lui, parce qu'on a peur de mourir de quelque chose qu'on ne maîtrise pas, et que personne n'ai peur de tout ce qui peut nous tuer au quotidien, parce qu'on le connaît trop bien...

 

 

 

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La manipulation affective invisible

Publié le 14 Mars 2020 par Lourenço Pereira Rosa Maria

 

 

Il arrive parfois dans la vie qu'on ne se rende pas compte qu'on traverse des moments de vide, dans lesquels on ne se sent plus à sa place tant au sein du travail, comme au sein de sa propre famille.

On a envie de pousser des portes, et d'avancer, puis ces portes deviennent lourdes, et on perd cette force en nous, jusqu'au point de ne plus les pousser.

 

On traverse comme on le dit à l'heure actuelle, un burn-out, sans savoir qu'on est en train de le traverser.

 

On devient une machine à son travail, sans motivation. On traverse dans son couple un vide, et on perd aussi la motivation du dialogue, et peut-être aussi celle du sexe, parce qu'on le veuille ou pas, il est possible que ce soit le cas...

 

Il se peut aussi qu'on ait dans notre entourage, une personne qui se veuille plus à l'écoute, du moins c'est ce que notre inconscient en retient. Parce qu'on se sent perdu, voire fragile...Parce qu'on sent que de l'autre côté, notre conjoint, ne nous rend pas ou ne nous rend plus cette écoute que nous attendons.

 

Alors, on se met à douter de tout, du travail, de nos relations de couple. De ce que notre double, notre moitié affective, ne nous apporte plus, parce qu'on en attend autre chose.

Parfois, on va reporter ce manque affectif d'une autre manière, ou sur une autre personne, sans comprendre l'ambiguïté que cela peut entraîner.

Il se peut que cette autre personne nous voue un sentiment que nous ne partageons peut-être pas, et que nous n'osons pas avouer, par peur de perdre cette personne, peut-être un ami...

Il se peut aussi que cette personne qui nous connaît bien, connaisse aussi nos failles, nos faiblesses et que sans s'en apercevoir, elle en joue.

Il se peut aussi qu'en sa présence, on se sente plus tendu, plus irritable, qu'on se sente déstabilisé, tant dans son travail, que dans sa vie affective, sans trop le comprendre.

 

Au début, on ne se rend pas compte de tout ces changements en nous, parce qu'on devient de plus en plus irritable, alors qu'on ne l'était pas autant avant, qu'on s'en prend un peu plus à notre conjoint, sans savoir pourquoi.

 

Quand cette personne qui se montre plus à notre écoute, du moins c'est ce que l'on croit, parce qu'elle nous apporte par le biais des ses mots, un espoir d'entente que nous ne connaissons plus au sein de notre propre vie affective, nous fait sentir qu'elle devient indispensable à notre vie, alors, nous ne sommes plus en mesure d'ouvrir suffisamment les yeux. Nous allons peut-être davantage, inconsciemment nous tourner vers elle, pour prendre ses conseils, jugeant qu'elle a certainement un discernement que nous n'avons plus, et nous finirons par nous ranger sur tous ses points de vue.

 

Il existe à ce moment là, une manipulation affective inconsciente, qui fait qu'on croira tout d'elle, qu'on finira peut-être même par se demander si notre vie au quotidien est bien la vie qu'on aime le plus.

Si notre conjoint est celui qui nous convient toujours, parce qu'au final, on nous dépeint de lui un portrait qui n'est pas le vrai, mais qui pour nous finit par le devenir, il se peut que malgré tout, on pense que ce ne soit plus le cas... 

On va même devenir de plus en plus irritable avec notre conjoint, jusqu'au point où, on s'en rend bien compte, mais on ne sait pas pourquoi...

On va reporter tout notre mal-être personnel, ancré depuis très longtemps, sur ce conjoint qu'on aime, mais qu'on trouve agaçant, irritable lui-aussi, et on va finir presque par ne lui trouver que des défauts... parfois au point de se demander si une séparation ne sera pas l'aboutissement de ce mal être qu'est le nôtre au final.

 

Parce qu'il est bien là, le vrai problème... C'est nôtre mal être...

 

Un être qui souffre, devient la proie de toute personne susceptible de traverser notre chemin de vie, et de s'y immiscer au point de nous déstabiliser, tant psychiquement que physiquement.

 

Mais nous ne sommes plus en mesure de nous en rendre compte. La manipulation affective, on n'en parle pas assez, pourtant elle fait partie de notre quotidien à tous, avec plus ou moins d'amplitude.

 

Cette manipulation peut être déclencheur, dans une vie de couple d'un rejet partiel ou total, vis-à-vis de son conjoint. On finit par vivre avec, puis par le voir un peu comme celui qui ne fait aucun effort pour nous, qui ne se remet pas ou plus en question...

Cette personne finira par nous faire ressentir, que nous sommes quelqu'un de bien, et que notre conjoint n'est peut-être pas la bonne personne pour nous, ou du moins, qu'elle ne l'est plus.

 

On finira qu'on le veuille ou pas, par voir notre conjoint comme une personne qui ne nous aime plus suffisamment, comme on aimerait qu'elle nous aime. Parce qu'au final, c'est tout ce qu'on en retiendra...

 

L'être humain au fond, n'a qu'un besoin essentiel dans sa vie, ce n'est pas forcément celui d'aimer, mais surtout celui d'être aimé et reconnu... Cette reconnaissance commence dès notre enfance et se poursuivra tout au long de notre vie. Elle commence par sa mère, son père, les deux personnes les plus importantes dans la vie d'un enfant.

Cette image qui va nous poursuivre en bien, ou en mal, suivant nos parcours à tous, et Dieu sait combien ils semblent tous différent, mais en final, ils sont bien tous identiques...

 

Ils nous laissent tous des traces...

 

Quand on se marie, on se voue des serments qu'on se dit chacun à notre tour, comme on lit un texte, parce qu'on s'aime et qu'on n'y connaît rien à cette vie...

 

On ne sait pas à quel point, elle est longue, pleine d'épreuves, avec ou sans enfants, avec les nôtres ou ceux des autres...

On ne sait rien, parce qu'on aime la vie, et qu'on a envie d'être heureux avec l'être choisi. Mais comme je l'ai déjà dit dans un de mes textes, cet amour, il faut l'entretenir, comme on entretient une bougie pour pas que sa flamme s'éteigne...

 

On a pas la clé pour tout ça, on a juste son "soi", avec nos traces à chacun...

 

Et on a juste la parole, pour nous aider, cette parole, qu'on avait avant quand on passait des heures à refaire le monde, parce qu'on était jeune et qu'on s'aimait !!

 

En fait, la vie met sur notre chemin tant de doutes, au travers de notre travail, des gens qu'on côtoie...La vie est si longue, qu'on pense qu'elle passe comme passe nôtre sentiment d'amour...

 

C'est vrai que tout passe, on vit, et on meurt, mais je suis pas toujours d'accord quand on dit que tout couple finit toujours par se séparer, parce que l'amour meurt aussi.

 

Moi je pense qu'on doit aller chercher tout au fond de nous dans nos traces, nos blessures, ce pourquoi, on garde en nous un sentiment d’échec, de rejet, de culpabilité, d'incompréhension qui finit par donner à notre parcours de vie, un autre sentiment d’échec...

 

Je pense aussi qu'on doit toujours se méfier de toute personne, qui entre dans nos vies, ou qui y est depuis de si longues années, et qu'on doit surtout garder les yeux bien ouverts sur ce qui se passe tout autour de ce cercle de vie.

 

Être à l'écoute de son "soi"... si au contact ou au départ de cette personne, un doute sur notre vie conjugale s'installe...

 

Se demander si on devient plus irritable avec notre conjoint, pourquoi ? Qu'est-ce qui fait qu'on est ainsi ? Pourquoi on peut se mettre à douter de notre couple au point de se dire que de toute façon, on finira certainement par se séparer ?

 

La manipulation est quelque chose d'invisible pour la personne qui est manipulée... Mais toute personne manipulée, ne le voit souvent que trop tard, et devient encore une autre fois, une victime...

 

La vie est longue c'est vrai, la vie de couple n'est pas facile c'est vrai aussi, élever des enfants l'est encore moins...

Mais elle peut-être belle et plus simple, une fois pour toute, quand on ose parler et affronter ce qui ne va pas...

Quand on accepte tous les démons de notre passé, c'est qu'on a déjà fait un pas vers la guérison , pour affronter un futur dans lequel ce passé ne doit plus avoir sa place... où on ne doit plus le laisser remonter afin que des tiers puissent s'en servir pour manipuler notre chemin de vie...

 

Dans notre « moi » intérieur, on doit être le seul à en rester maître, se servir de celui-ci pour garder toujours une vision objective, et être clair d'esprit, pour entrevoir tout virus qui pourrait s'y introduire...

 

Un virus, ce n'est pas forcément quelque chose de méchant, ou une maladie, c'est tout simplement quelque chose qui va s’immiscer dans une faille qui nous appartient et qui va se répandre au point, de nous faire ressentir de la douleur, ou un mal-être.

 

Un virus, ce peut-être, nous-même qui par nos nos-dits, finira par nous détruire, parce que nous n'avons pas eu le courage à un moment donné de notre vie, de nous confronter, à la base de ce virus, et à le rejeter pour qu'il ne nous rende pas malade...

 

Rien n'est jamais facile dans une vie, ça se saurait ! Mais il nous appartient vraiment toujours de changer le cour des choses, et encore une fois de plus, la parole est celle qui n'a peut-être pas pu changer notre passé, mais qui changera certainement notre futur, si nous lui en donnons cette chance...

 

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Aide à domicile

Publié le 2 Mars 2020 par Lourenço Pereira Rosa Maria

 

J'écris ce texte pour inciter les personnes qui emploient des aides à domicile, afin qu'elles puissent comprendre comme l'indique celui-ci, le verbe « aider »...

 

Bien souvent on oublie qu'employer une aide à domicile, ne rend pas cette personne asservie à la personne qui l'emploie. Une aide à domicile est là, pour aider les personnes au quotidien à faciliter leurs tâches ménagères.

Si ces personnes exercent une activité salariale, les empêchant de faire leurs tâches ménagères, car peu de temps... les aides à domicile, sont là, pour les soulager sur ces tâches. Si ce sont des personnes âgées, l'aide à domicile, peut exercer ces tâches en totalité ou presque, suivant qu'il y ait des risques ou pas.

 

En général, la personne qui exerce le métier d'aide à domicile, devient en quelque sorte un peu le bras droit des personnes chez qui elle travaille. Elle rentre un peu dans leur intimité, leur confidence. De ce fait, il se peut qu'au fur et à mesure que le temps passe, il s'installe une complicité qui parfois, fait que les personnes qui les emploient oublient que ces personnes, sont aussi des femmes qui travaillent dur, qui travaillent également chez d'autres particuliers, car il est rare que ces femmes de ménages, exercent plus de 2, 3 ou 4 heures par semaines chez un même particulier.

Ces femmes parcourent parfois de longues distances pour exercer leur métier. Il se peut qu'il y ait des travaux occasionnels, des accidents sur la route, ou tout simplement des manques de places qui empêchent parfois le bon déroulement de ces trajets, impliquant parfois du retard sur le temps de travail. Bien entendu, les personnes qui font le ménage chez ces particuliers, se doivent de rattraper cet éventuel retard, et non abuser de ces quelques minutes qui font au long d'un mois, perdre à l'employeur un temps sur les tâches à effectuer. En quelque sorte, chaque partie doit être honnête, pour le bon déroulement et la bonne entente entre elles.

 

Parfois, il se peut que les personnes qui emploient les aides à domicile, abusent et demandent parfois au-delà des compétences, d'autres tâches ménagères ou autres tâches que bien souvent une femme de ménage, ne doit pas faire. On oublie souvent qu'il existe aussi des règlements intérieurs, pour protéger la femme de ménage. La personne qui emploie, a parfois tendance, lorsqu'elle connaît sa femme de ménage à demander plus amples tâches à exercer, sans se demander si elle a le droit de le faire.

Normalement, une aide à domicile comme son nom l'indique est là pour soulager, tout simplement. Il se peut qu'éventuellement, la femme de ménage, accepte de monter sur des échelles, ne sachant pas qu'au niveau de la loi, cette échelle ne doit pas dépasser 3 marches, car si l'aide à domicile tombe, elle sera responsable et perdra ses droits d'accident de travail si elle se blesse, ça passera en maladie en pas en AT.

 

Il se peut également, que la personne qui emploi l'aide à domicile, soit incivile, ou abuse de son statut d'employeur.

L'aide à domicile, si elle est respectueuse, ne doit pas avoir à subir les sottes d'humeur de ses employeurs. Ou subir certaines injustices, comme le fait d'être de mauvaise foi et accuser son employée à tort, d'avoir commis des erreurs, si elle ne l'a pas fait.

C'est aussi un égard de respect vis-à-vis de son employée...parfois certains employeurs, sans le faire express certainement, ont tendance à considérer la personne qui travaille chez elle, un peu comme la bonne à tout faire...

Souvent, avec le temps, l'employeur prend une marge plus large de charge de travail, tout en oubliant, que les heures de sa salariée, ne sont pas devenues plus extensibles...

 

Lorsqu'on demande à son employée de maison de faire toujours plus, on ne doit pas s'étonner si elle ne peut pas faire comme d'habitude les tâches qu'elle effectuait dans le temps imparti. Faire du ménage, ne se fait pas en claquant des doigts, comme dans « Joséphine Ange-gardien »!!

 

Certains employeurs oublient parfois que les aides à domicile ne sont pas non plus leurs esclaves, ou ne peuvent pas nettoyer une maison de plus de 90 mètres carré en 2 heures et s'attendre à ce que celles-ci laissent les pièces impeccables, voire irréprochables !!

En fait, l'employeur devrait se demander lorsqu'il demande à sa salariée de faire telle ou telle chose, si cela est possible dans le temps demandé, ou simplement, si lui le faisait, est-ce qu'il ferait aussi bien voire moins...

Cela permettrait d'avoir une juste opinion et déterminer, si ce qu'il demande est réalisable.

 

Être aide à domicile, c'est un travail à part entière. Celui qui le fait doit savoir travailler, et celui qui embauche doit savoir s'il est juste...

 

Je pense qu'il devrait en être ainsi dans tout travail, ce respect que nous devons à nos employeurs, eux nous le doivent aussi, quelque soit notre travail.

 

En fait, c'est souvent le cas dans beaucoup d'enceintes de travail...On ne devrait jamais oublier que le travail doit toujours rester humain ainsi que la considération du salarié...ou de celle de son employeur également...

 

L'honnêteté doit être équitable...

 

J'écris ce texte, parce que ce métier, je le fais depuis 33 ans avec passion.

J'ai eu l'énorme chance de travailler pour des gens humains, qui connaissaient la valeur de ce travail et qui en mesuraient l'intensité. J'ai aimé ces personnes qui m'ont vraiment beaucoup marqué pour nombres d’entre-elles, et que je regrette encore aujourd'hui profondément de par leur disparition...

 

J'ai eu récemment une désillusion, face à un employeur qui n'a pas pris conscience des kilomètres que je faisais pour lui, et que je viens de quitter sans aucun regret, suite à des crises de colères inappropriées.

Certains pensent que du fait d'être employeurs, ils peuvent se permettre de traiter leur personnel comme des bouts de chiffons que l'on froisse à leur bon vouloir...qu'être employeur rend impossible à celui-ci de s'excuser auprès de cette personne qu'il froisse, sans état d'âme, et sans raison valable...

Mais être employeur, et bon employeur est un art et une qualité.

 

Aujourd'hui, je prends un peu de recul face à mon parcours, et j'avoue, peut-être avoir fait le tour de moi-même et des autres...

 

Je constate que les temps changent, que les gens changent, que moi aussi, j'ai certainement changé...

 

Je constate qu'il existe encore aujourd'hui, de merveilleuses personnes pour lesquelles je resterais aussi longtemps que possible « aide à domicile » ou « femme de ménage », peu importe le nom qu'on lui attribuera !!!

 

Mais je constate également aujourd'hui, que j'ai un doute sur ma condition chez certaines autres personnes...

 

Je pense que pour certaines catégories de personnes, je resterais une « femme de ménage », que malheureusement, cette condition de travail est encore attribuée à un rabaissement moral ou physique, de la personne qui l'exerce.

 

Comme le diraient beaucoup de personnes, il n'y a aucun métier dont on puisse avoir honte, si on le fait honnêtement et honorablement...

Mais je pense qu'il existe encore certaines personnes, qui pensent que faire tel ou tel métier, s'il n'est pas pourvu d'un certain niveau intellectuel, est rabaissé au rang d'infériorité.

De ce fait, certains de ces métiers, comme « femme de ménage » ou autre du même style, sont rabaissé à une catégorie inférieure...

 

Cela fait de son employeur une personne qui se sent supérieure, qui pourrait se permettre une certaine aisance puissante...

 

Aujourd'hui, j'écris ce texte, afin de sensibiliser toute personne employant des aides à domicile, pour qu'elles réalisent réellement si elles seraient capables de faire certaines tâches ménagères demandées, en un temps imparti. J'aimerais qu'elles réalisent que ce travail est vraiment un travail, pas facile, suivant certaines personnes, car il ne faut pas l'oublier, il y a des gens respectueux et d'autres pas...

 

J'aimerais également leur dire qu'une femme de ménage n'a pas un quotient intellectuel faible, bien au contraire !!

Parfois, on exerce ce métier pour le côté humain qu'il nous apporte, pour la liberté de son amplitude horaire que l'on peut agencer...

 

Faire du ménage n'a rien d' inférieur, bien au contraire, et les personnes qui le font, peuvent lever la tête fièrement et se dire que seules sont inférieures les personnes «  se sentant supérieures »....

 

 

 

 

 

 

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